Carmignac Portfolio Patrimoine Europe A EUR Acc | +3.4 % | +0.8 % | -0.7 % | +6.0 % | +7.9 % | +21.1 % | - |
Indicateur de Référence | +4.5 % | +1.9 % | -0.0 | +6.0 % | +15.2 % | +29.1 % | - |
Moyenne de la catégorie | +3.2 % | +2.8 % | -0.3 % | +5.0 % | +13.0 % | +25.8 % | - |
Classement (quartile) | 2 | 4 | 3 | 2 | 4 | 3 | - |
Ces mesures permettent d'évaluer la performance ajustée au risque d'un Fonds. Un Fonds performant devrait idéalement afficher un rendement solide (mesuré par le ratio de Sharpe et l'alpha) par rapport à son risque (mesuré par la volatilité) tout en étant bien aligné avec les attentes du marché (mesurées par le bêta par rapport à l'indice de référence).
Fonds | +5.6 % | +6.5 % | +6.7 % |
Indicateur de Référence | +6.7 % | +7.1 % | +8.4 % |
Calcul : pas hebdomadaire
Ratio de Sharpe | 0.0 % | +0.4 % | +0.6 % |
Bêta | +0.5 % | +0.7 % | +0.6 % |
Alpha | -0.1 % | 0.0 % | 0.0 % |
Calcul : pas hebdomadaire
La contribution à la performance présente les différents moteurs qui participent à son résultat. La somme de ces éléments est égale à la performance brute de frais de gestion sur le portefeuille pour la période. La différence entre la performance brute et la performance nette correspond à l’impact des frais sur la période.
Les scénarios défavorable, intermédiaire et favorable présentés représentent des exemples utilisant les meilleure et pire performances, ainsi que la performance moyenne du produit au cours des 10 dernières années. Les marchés pourraient évoluer très différemment à l'avenir. Le scénario de tensions montre ce que vous pourriez obtenir dans des situations de marché extrêmes, et ne tient pas compte du cas où nous ne pourrions pas vous payer. Ce tableau montre les sommes que vous pourriez obtenir sur 5 ans, en fonction de différents scénarios, en supposant que vous investissiez 10 000 €.
Découvrez ci-dessous l'analyse de l'équipe de gestion.
• Le Fonds termine le mois en hausse, mais affiche une performance inférieure à celle de son indicateur de référence.• Dans un environnement globalement favorable aux actifs risqués, notre sélection de titres, tant en actions qu’en crédit, a contribué positivement à la performance. • Notre exposition aux actions domestiques via des instruments dérivés a également eu un impact positif sur les résultats du Fonds. • En revanche, sur le segment obligataire, nos stratégies de protection sur le crédit ainsi que notre sensibilité positive ont pesé sur la performance globale du Fonds.
• L’Europe bénéficie actuellement de nombreux atouts : une politique monétaire toujours accommodante de la Banque centrale européenne, des plans de relance budgétaire historiques, la baisse des prix de l’énergie, des valorisations attractives et un niveau d’épargne record des ménages, offrant ainsi un contexte particulièrement favorable pour investir sur le continent.• Dans ce contexte, nous privilégions un équilibre entre valeurs de qualité/croissance et champions domestiques, avec une exposition marquée à l’Espagne et à l’Italie, ainsi qu’aux entreprises allemandes de taille moyenne (les mid-cap). • Nous restons prudents sur les taux, estimant que le marché anticipe peut-être trop de baisses alors que les indicateurs économiques demeurent solides. • Nous maintenons une exposition dédiée, convaincus que les politiques budgétaires continueront d’alimenter les pressions inflationnistes.
Environnement de marché
• Mai a marqué un fort rebond des marchés d’actions mondiaux, effaçant les creux d’avril. Ce regain s’explique par l’apaisement des tensions commerciales (notamment entre les États-Unis et la Chine) et une amélioration du moral des consommateurs.• Les valeurs de croissance, portées par une saison des résultats positive, ont surperformé sur les marchés d’actions. Aux États-Unis, la croissance des bénéfices a atteint 12,4%, renforçant la confiance des investisseurs. • En Europe, l’optimisme a également dominé, malgré les tensions sur les négociations commerciales entre les États-Unis et l’Union européenne. Les anticipations de mesures de soutien budgétaire et les révisions à la hausse des bénéfices ont continué de soutenir le sentiment régional, éloignant les craintes de récession. • Côté obligations, la tendance a été plus contrastée : les marchés obligataires ont souffert des inquiétudes budgétaires américaines et d’une demande faible lors des adjudications aux États-Unis mais aussi au Japon. Cependant, un rebond s’est amorcé en fin de mois, porté par l’apaisement des tensions commerciales. • Sur le marché des changes, le dollar a connu une évolution en dents de scie : d’abord en baisse, il s’est légèrement repris en fin de mois, reflet de la volatilité persistante liée aux incertitudes économiques et politiques.