La recherche de valeur de croissance de qualité dans le secteur financier est depuis longtemps un travail de longue haleine pour ceux qui souhaitent limiter leur sensibilité au cycle économique, mais au-delà du secteur bancaire traditionnel, des opportunités existent. Mark Denham, gérant du fonds Carmignac Portfolio Grande Europe, met en avant comment il équilibre l'allocation du fonds dans le secteur financier et pourquoi il accorde une telle importance aux infrastructures financières.
Si les banques constituent l’épine dorsale du secteur financier et de l’économie dans son ensemble, elles demeurent un terrain difficile pour les stratégies axées sur les valeurs de croissance de qualité. Leur fort effet de levier, qui amplifie tant les gains que les pertes, la volatilité de leurs revenus et bénéfices, ainsi que leur sensibilité aux chocs externes, ont longtemps nourri l’idée qu’elles ne correspondent pas aux standards du style qualité.
Nous ne partageons pas cette vision généralisée. Une analyse plus fine révèle des nuances importantes. Notre approche de l’investissement dans le secteur financier se distingue nettement. Contrairement à de nombreuses stratégies Qualité/Croissance qui excluent les banques traditionnelles, nous les intégrons pleinement à notre univers d’investissement. Cette posture nous différencie clairement de nos concurrents.
Notre exposition actuelle de 14 % au secteur en témoigne, avec une pondération significative dans les infrastructures financières — un segment que nous considérons comme essentiel à l’amélioration de la société. Ces acteurs jouent un rôle clé dans la réalisation de l’Objectif de Développement Durable n° 9 des Nations Unies (ODD 9), qui met l’accent sur l’industrie, l’innovation et les infrastructures, en ciblant notamment l’accès aux services et aux marchés financiers.
Depuis 2020, le secteur bancaire affiche une performance robuste, stimulée par le regain d’intérêt pour les valeurs décotées, les ajustements macroéconomiques et une dynamique fondamentale plus favorable. La remontée des taux d’intérêt a agi comme un catalyseur, dopant les revenus et renforçant mécaniquement les bilans — d’autant plus marquant que l’on sort d’une décennie marquée par des politiques de taux négatifs.
Après des années de rendements en capital décevants, les banques renouent avec la performance. Leurs résultats bénéficient d’un effet de levier puissant : la hausse des taux a élargi les marges nettes d’intérêt
— écart entre ce que les banques perçoivent sur les prêts et ce qu’elles versent sur les dépôts. À cela s’ajoutent une croissance stable du crédit et un regain d’activité sur les marchés de capitaux, qui viennent soutenir les bénéfices.
Historiquement, le secteur bancaire n’a jamais été considéré comme un bastion de la qualité. L’effet de levier structurel, la volatilité des résultats et une offre peu différenciée — essentiellement des dépôts et des prêts — ont longtemps privé les banques d’un véritable avantage concurrentiel. Exposées aux défauts de crédit, aux fluctuations de taux, aux aléas réglementaires et géopolitiques, elles n’ont jamais bénéficié du luxe de revenus stables et prévisibles.
Mais aujourd’hui, le secteur affiche sa meilleure santé depuis la crise financière mondiale. La gestion du capital s’est nettement améliorée, tout comme la rentabilité. À travers notre prisme strict de Qualité/Croissance, nous réexaminons le paysage bancaire européen, où certaines valeurs commencent à réapparaître dans nos filtres financiers.
Bien entendu, la prudence reste de mise et la sélection des titres demeure essentielle. La tendance observée ces cinq dernières années est-elle durable ? Le risque d’un essoufflement des bénéfices est réel. Si la rentabilité s’est accrue durant le cycle de hausse des taux, une incertitude politique et commerciale prolongée, couplée à une baisse des taux, pourrait peser sur les marges nettes d’intérêt. Les banques européennes tirent plus de 50 % de leurs revenus de ces marges, ce qui les rend particulièrement sensibles aux baisses de taux — un point à surveiller de près.
Cela dit, nous estimons qu’il existe de solides raisons d’être constructif sur le secteur, notamment pour les établissements axés sur la gestion de patrimoine ou engagés dans une dynamique de redressement, à l’image d’UBS.
Là où notre conviction est plus forte encore, c’est dans ce que nous appelons l’infrastructure financière: bourse, facilitateurs de paiement ou encore plateformes d’investissement en gestion privée.
Les entreprise de marché, telles qu’Euronext ou Deutsche Börse, jouent un rôle central dans l’écosystème financier européen, en assurant des services de négociation et de post-marché sur une large gamme d’instruments financiers. Leur position dominante repose sur des avantages oligopolistiques, soutenus par des barrières à l’entrée particulièrement élevées. Bien qu’elles ne soient pas toujours perçues comme des valeurs à fort effet de capitalisation, ces sociétés affichent une croissance des bénéfices comprise entre 5 et 10%, sur la base des revenus transactionnels et non transactionnels. Elles bénéficient de flux de revenus stables — frais de transaction, frais d’introduction en Bourse, ventes de données de marché — tout en offrant des relais de croissance via l’augmentation des volumes échangés et les nouvelles cotations. Leur cadre réglementaire rigoureux renforce leur profil de sécurité et de fiabilité pour les investisseurs. Par ailleurs, ces acteurs présentent des caractéristiques contre-cycliques : en période de stress économique, l’intensification des activités de couverture et de trading tend à soutenir leurs résultats. La volatilité des marchés agit souvent comme un catalyseur, stimulant l’activité transactionnelle. Les réformes fiscales récentes en Allemagne, destinées à favoriser la croissance économique, pourraient constituer un vent porteur supplémentaire, alors que les capitaux internationaux se réorientent vers l’Europe dans les années à venir.
Des entreprises comme Adyen, au cœur de l’écosystème « fintech », fournissent des services de traitement des paiements aux commerçants. Si leur dimension technologique leur confère un potentiel de croissance supérieur, elles se distinguent également par leur capacité à réinvestir massivement leurs revenus pour conserver une avance stratégique sur leurs marchés. Ces acteurs s’appuient sur l’innovation pour bousculer les modèles traditionnels, tout en s’appuyant sur des avantages concurrentiels solides : une infrastructure de paiement unifiée à l’échelle mondiale et des coûts de changement élevés pour les clients. Leur croissance repose sur des tendances structurelles puissantes, notamment la transition vers les paiements numériques et l’essor du commerce en ligne. À mesure que l’usage de l’argent liquide recule au profit des paiements par carte et mobile, ces entreprises apparaissent comme les grandes bénéficiaires de cette mutation. Comparées aux banques traditionnelles, des sociétés comme Adyen affichent des perspectives de croissance nettement supérieures : une progression estimée de 50 % du bénéfice par action sur trois ans, contre 16 % pour l’indice MSCI Europe Financials1.
Leur modèle économique repose sur une infrastructure hautement évolutive, déployée à travers différentes régions et canaux, avec une structure capitalistique légère et des revenus récurrents issus de modèles tarifaires simples. Elles bénéficient également d’une certaine résilience, leur faible cyclicité leur conférant des qualités défensives appréciables dans un environnement incertain. Nous voyons dans ces entreprises des bénéficiaires naturels de la digitalisation croissante de l’économie, et plus particulièrement de l’expansion continue du commerce électronique.
Des acteurs comme Nordnet ou Fineco Bank fournissent l’ossature technologique permettant aux particuliers d’investir leur épargne. Contrairement aux banques traditionnelles, ces plateformes ne supportent pas le risque de crédit lié à l’activité de prêt, et affichent généralement des sources de revenus diversifiées ainsi que de meilleurs ratios de coûts sur revenus. Nous apprécions particulièrement leur orientation vers les investisseurs particuliers, dans un contexte de transition structurelle vers des solutions d’investissement autonomes et des services de planification patrimoniale — deux moteurs de croissance clés pour ces plateformes à marges élevées. Leur avantage concurrentiel repose en grande partie sur leur infrastructure numérique. Elles surpassent souvent les banques traditionnelles en matière de rapidité de déploiement produit, d’innovation de service et d’expérience utilisateur. Elles sont également à la pointe de l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) et ont su s’adapter plus rapidement aux tendances émergentes telles que les investissements liés aux crypto-actifs ou les services discrétionnaires digitalisés. Leur architecture moderne, plus légère à exploiter, leur confère une efficacité opérationnelle supérieure.
Et même dans un environnement de taux plus bas, nous estimons que ces entreprises conservent un attrait structurel fort, porté par la digitalisation croissante de l’économie et l’essor continu du commerce en ligne.
Au sein du fonds Carmignac Portfolio Grande Europe, l’infrastructure financière constitue un thème central, avec une exposition a deux valeurs :
Deutsche Börse
L’une des trois principales entreprise de marché européennes aux côtés d’Euronext et du LSEG, Deutsche Börse, concentre son activité sur les services de négociation et de post-marché. Les réformes structurelles en Europe — notamment dans le domaine des retraites en Allemagne et l’Union des marchés des capitaux de l’UE — devraient canaliser davantage de capitaux institutionnels et particuliers vers l’investissement. Dans ce contexte, l’acquisition de SimCorp, fournisseur de solutions logicielles pour les investisseurs institutionnels, constitue un levier de croissance stratégique. Cette opération permet à Deutsche Börse d’accélérer sa transition vers un modèle SaaS, générateur de revenus récurrents. Parallèlement, ses services en matière de données et de gouvernance, notamment dans le domaine de l’ESG, renforcent la qualité de l’offre proposée à ses clients. À plus long terme, Deutsche Börse s’impose comme une valeur de capitalisation durable, à la pointe de l’innovation. L’intégration de l’intelligence artificielle dans le développement logiciel et les opérations, ainsi que l’adoption croissante des actifs numériques dans les services de post-marché, illustrent sa capacité à conjuguer stabilité financière et transformation technologique.
Fineco Bank
Fineco, plateforme d’investissement numérique intégrée, propose aux épargnants italiens une offre complète combinant banque, courtage et gestion d’actifs. Son positionnement verticalement intégré, associé à une marque forte et à des barrières à l’entrée élevées, lui confère un avantage concurrentiel qui a permis une croissance rapide. Fineco figure désormais parmi les cinq premiers collecteurs d’actifs sur son marché. Leader incontesté du trading d’ETF en Italie, avec une part de marché de 70 %, l’entreprise affiche une croissance à deux chiffres modérés, soutenue par plusieurs moteurs structurels : la montée en puissance de l’investissement de détail en Italie, la demande croissante de conseil financier, et une infrastructure hautement scalable. Fineco tire également parti de son avance technologique, qui lui permet d’offrir une expérience utilisateur fluide et des services à forte valeur ajoutée, tout en maintenant une efficacité opérationnelle remarquable. Son modèle économique, à faible intensité capitalistique et orienté vers la récurrence des revenus, renforce encore son potentiel de croissance à long terme.
Les valeurs financières sont rarement associées à l’univers d’investissement Qualité/Croissance — et ce, souvent à juste titre. Pourtant, les lignes bougent. À travers notre exposition ciblée à l’infrastructure financière, nous bénéficions des atouts du secteur tout en limitant les risques liés à sa cyclicité. Ces entreprises offrent une diversification précieuse, avec des modèles économiques plus stables et moins sensibles aux cycles de crédit ou aux taux d’intérêt.
Comme toujours, la sélection de titres reste déterminante. Nous veillons à diversifier notre exposition au sein même du secteur, avec une pondération actuelle de 14 %, répartie entre les banques (environ 5
%), les entreprises de marché (environ 3,5 %), les services de paiements (environ 1,5 %) et les plateformesd’investissement (environ 4 %).
Cette approche nous permet de capter les dynamiques structurelles de transformation du secteur financier, tout en conservant une discipline rigoureuse en matière de qualité et de gestion du risque.
*Echelle de risque du KID (Document d’Informations Clés). Le risque 1 ne signifie pas un investissement sans risque. Cet indicateur pourra évoluer dans le temps. **Le Règlement SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) 2019/2088 est un règlement européen qui demande aux gestionnaires d’actifs de classer leurs fonds parmi notamment ceux dits : « Article 8 » qui promeuvent les caractéristiques environnementales et sociales, « Article 9 » qui font de l’investissement durable avec des objectifs mesurables, ou « Article 6 » qui n'ont pas nécessairement d'objectif de durabilité. La classification SFDR des Fonds peut évoluer dans le temps. Pour plus d’informations, visitez : https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2019/2088/oj?locale=fr.
Carmignac Portfolio Grande Europe | 5.1 | 11.0 | -9.6 | 35.5 | 14.4 | 22.5 | -20.6 | 15.5 | 12.0 | -1.7 |
Indicateur de référence | 1.7 | 10.6 | -10.8 | 26.8 | -2.0 | 24.9 | -10.6 | 15.8 | 8.8 | 8.5 |
Carmignac Portfolio Grande Europe | + 10.1 % | + 7.3 % | + 6.2 % |
Indicateur de référence | + 12.8 % | + 11.2 % | + 6.3 % |
Source : Carmignac au 30 juin 2025.
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Indicateur de référence: MSCI Europe NR index
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